19 mars, 2024

1887 : FLORULE DES ÎLES SAINT–PIERRE ET MIQUELON

FLORULE DES ÎLES SAINT–PIERRE ET MIQUELON
Par M. Ed. BONNET
Journal de Botanique. N° des 1er août, 1er septembre, 1er et 15 octobre 1887.

Dernières épaves des possessions coloniales de France dans l’Amérique du Nord, les îles
Saint–Pierre et Miquelon sont situées à l’entrée du Golfe du Saint-Laurent, à dix milles environ de la
côte de Terre–Neuve, entre 46° – 47° de lat. N. et 58° 29’ – 58°, 40’ de longit. W. (1). Miquelon, plus
septentrionale et plus vaste que Saint–Pierre, formait autrefois deux îles séparées par une passe
accessible aux navires, maintenant comblée par les sables depuis plus d’un siècle ; la partie la plus
rapprochée de Terre–Neuve porte encore aujourd’hui le nom de Grande Miquelon, tandis que l’autre,
située plus au Sud, a conservé les dénominations de Langlade et de Petite-Miquelon. Le climat des
deux îles a de grandes analogies avec celui des contrées voisines, Canada et Terre–Neuve : le
maximum thermométrique atteint + 24° cent. en août, tandis que la température s’abaisse jusqu’à –
22° pendant le mois de février, le plus froid de l’année. Au reste, la topographie et la météorologie de
notre petite colonie du Nord–Amérique ont été traitées avec assez de développements dans quelquesuns
des mémoires que je cite ci-après, pour qu’il soit inutile d’y insister davantage. Lire la suite …

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