Ce document, de 243 pages, a été téléchargé à partir de Gallica, site de la Bibliothèque Nationale de France (www.bnf.fr). Seule la partie concernant Terre-Neuve et Saint-Pierre et Miquelon a été recopiée ici.
« Les choses allèrent ainsi jusqu’au traité de Paris en 1763. Cette fois, la guerre avait été désastreuse pour nous dans ces parages. Nous y perdions non seulement le Cap-Breton et le poste important de Louisbourg, mais encore les deux Canadas. Néanmoins, les négociateurs du traité consacrèrent expressément à nouveau, dans l’article 5, la stipulation du traité d’Utrecht, et, comme ils reconnaissaient la nécessité pour la France d’avoir, dans ces mers, un point d’appui pour ses pêcheries, ils nous attribuèrent la souveraineté des seules petites îles de Saint-Pierre et Miquelon, à titre de compensation de la perte du Cap-Breton. » – Lire le texte intégral. [PDF]