16 novembre, 2024

Ephémérides du 25 mai 1816

Arrivée à Saint-Pierre de la flûte ‘La Revanche’ avec 1er commandant Bourrilhon, chargé de reprendre possession des îles, sa fille Aminte, le curé Ollivier, les chirurgiens Feuc, Barbet et Fitzgérald, le capitaine de port Leroy, les commis de la marine (principal 1 re et 2me classe) Dehann, Feillet, Bourrilhon fils, le pilote de port Huot, le gendarme Yreux et 44 anciens déportés de Miquelon, échappés du naufrage du transport du Roi ‘La Balance’.

Ephémérides du 24 avril 1816

Départ de Brest pour Saint-Pierre et Miquelon avec partie des déportés, de matériaux de construction et approvisionnements, de la flûte ‘La Caravane’, des goélettes ‘Aminthe’, ‘La Brestoise’ et ‘La Miquelonnaise’. ‘La Caravane’ a en outre à son bord, 49 ouvriers d’artillerie commandés par le lieutenant Bertot pour la construction des immeubles du gouvernement et qui formeront en outre la garnison.

Ephémérides du 22 avril 1816

Départ de Saint-Malo de la frégate ‘La Revanche’ faisant partie avec les flûtes ‘Caravane’ et ‘Salamandre’, la gabarre ‘La Lionne’, les goélettes ‘Aminthe’, ‘La Brestoise’ et la ‘Miquelonnaise’, de l’expédition destinée à la reprise de possession des îles Saint-Pierre et Miquelon. M. Bourrilhon, commissaire de la marine, chargé en chef du service est à bord avec sa fille Aminthe, ses deux fils Louis et Léonide Bourrilhon, ainsi que M. Ollivier, curé, MM. Fuec, Barbet, Fitzgerald, chirurgiens, Le Roy, capitaine de port et autres fonctionnaires.

Ephémérides du 20 février 1816

Le ministre attire l’attention du commandant Bourrilhon, en instance de départ à Saint-Malo, sur le règlement du 3 Mars 1803, relatif à la police de la pêche à Saint-Pierre et Miquelon, notamment sur celle des warys qui, si elle est susceptible de quelque tolérance à cause de l’indigence des pêcheurs locaux, doit cependant être toujours subordonnée à l’intérêt des grands armements.

Ephémérides du 20 novembre 1815

Traité de Paris restituant les îles Saint-Pierre et Miquelon à la France. Pendant les pourparlers, l’Angleterre offrit à la France de lui rendre l’île Maurice en échange de Saint-Pierre et Miquelon et du French Shore. Les plénipotentiaires français refusèrent, partageant l’avis de Fontenac qui estimait ‘la conquête des Pêcheries plus importante que celle des Indes dont les mines s’épuisent, tandis que celles-ci sont inépuisables’.

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