1872 – 193x : Les onze tentatives d’abandon
La France, sous ses diverses incarnations républicaines, a tenté de se débarrasser des îles Saint-Pierre et Miquelon à plus de onze reprises. Devant le refus …
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La France, sous ses diverses incarnations républicaines, a tenté de se débarrasser des îles Saint-Pierre et Miquelon à plus de onze reprises. Devant le refus …
En 1872, les habitants de l’Archipel déposèrent à l’Assemblée Nationale une pétition et un mémoire justificatif. (Imprimée rue des Onze Mille Vierges à Arras !). …
Louis XVI fut guillotiné en janvier 1793 et la guerre fut déclarée le 31 du même mois entre l’Angleterre et la France. À Miquelon, de …
Traité de Paris restituant les îles Saint-Pierre et Miquelon à la France. Pendant les pourparlers, l’Angleterre offrit à la France de lui rendre l’île Maurice en échange de Saint-Pierre et Miquelon et du French Shore. Les plénipotentiaires français refusèrent, partageant l’avis de Fontenac qui estimait ‘la conquête des Pêcheries plus importante que celle des Indes dont les mines s’épuisent, tandis que celles-ci sont inépuisables’.
Le commandant de la frégate ‘La Cybèle’, Kergariou passe en revue la petite garnison de St-Pierre.
Les troupes de la garnison occupent leur caserne et les officiers de santé leur logement, complètement terminés.
La frégate ‘Néréide’, venant de la Martinique, arrive à Saint-Pierre avant perdu en route 10 hommes de la fièvre jaune. Toutes précautions sont prises pour éviter le fléau à la colonie.
Décision royale prescrivant le renvoi en France, au commencement du prochain hiver, du détachement d’ouvriers d’artillerie de marine employé à Saint-Pierre et Miquelon, et l’envoi dans la colonie, pour la police, de six gendarmes dont un brigadier et de 6 marins de la flotte pour le service des embarcations du port de Saint-Pierre.
Arrivée sur le ‘Golo’, du brigadier de gendarmerie Tavernier, des gendarmes Moulec, Godec et Richard, ce qui porte, avec le gendarme Yreux, en service depuis 1816, l’effectif de cette arme à 5 hommes.
Le ministre de la marine et des colonies fait connaître au commandant Fayolle que le roi a accordé à titre de gratification une somme de 3 000 francs à distribuer entre ceux des habitants sédentaires qui se sont livrés à la pêche avec le plus d’activité et d’intelligence.
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