Ephémérides du 24 novembre 1969
Arrivée dans le Territoire d’un troupeau de 239 bêtes de races charolaise, limousine et suisse. Ce troupeau sera parqué dans le nouveau ranch récemment construit à l’Anse-à-Ravenel.
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Arrivée dans le Territoire d’un troupeau de 239 bêtes de races charolaise, limousine et suisse. Ce troupeau sera parqué dans le nouveau ranch récemment construit à l’Anse-à-Ravenel.
Le chalutier ‘Jeannette’ fait côte sur l’Ile-aux-Vainqueurs.
Fondation de l’Association des Anciens Combattants des armées de terre et de mer des Iles Saint-Pierre et Miquelon.
Le brise-glaces canadien ‘Stanley’ entre en rade avec le bateau postal ‘Pro Patria’ à la remorque. Celui-ci étant en dérive depuis plusieurs jours, à cause de son hélice brisée.
Bénédiction à l’lle-aux-Chiens de la nouvelle cloche de l’église Dominica-Emilie, des prénoms des parrain et marraine, l’amiral Gauchet qui vécut ses premières annees à l’Ile-aux-Chiens où son père faisait la petite pêche, et Madame Dufresne, épouse du maire de la commune. L’amiral Gauchet était représenté par M. Chanot, chef du service judiciaire.
Mort de sœur Cécile à l’âge de 92 ans. Elle débarqua à Saint-Pierre le 12 mai 1861. Après avoir débuté à l’école communale elle fut appelée à diriger l’ouvroir jusqu’à sa fermeture c’est-à-dire pendant 39 ans, Sœur Cécile est morte saintement comme elle avait vécu, pleurée de celles -nombreuses dans la colonie- qui ont été formées par ses soins à l’école et à l’ouvroir.
Une flottille de cutters de la douane américaine qui patrouillait depuis plusieurs jours dans les environs de Saint-Pierre et Miquelon, disparaît à l’arrivée du navire de guerre français ‘Ville d’Ys’.
Mort à 64 ans de François Eloquin qui, pendant 30 annees, commanda successivement les vapeurs ‘Progrès’ et ‘Saint-Pierre’ affectés aux remorquages et au service postal de Langlade et Miquelon. C’était un marin dans toute l’acception du mot. Quoique d’humeur un peu rébarbative, François Eloquin était néanmoins complaisant et universellement estimé. C’est une sympathique figure Saint-Pierraise qui disparaît.
Un ouragan assez violent du S.O. souffle pendant toute la journée sur les îles. La mer est démontée.
Le navire ‘Grèbe’ venant de Cadix, chargé de sel, est jeté à minuit sur les brisants de la Pointe-Blanche à Saint-Pierre, par forte brise de S.O. accompagnée de brume. Au péril de sa vie, un matelot se jette à la mer et gagne la terre à la nage pour chercher du secours. A 9 heures du matin, l’équipage en grand danger est sauvé par le pilote Pierre Gervain et son matelot Sarazola qui font preuve dans cette circonstance d’un dévouement et d’une énergie incroyables.
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