Ephémérides du 23 avril 1819
Incendie de la caserne de la garnison à Miquelon.
3060 documents : traités, cartographie, toponymie, archives, sources primaires, études, recherches, éphémérides
Incendie de la caserne de la garnison à Miquelon.
L’Empereur Napoléon III accorde un secours de 100 000 francs aux incendiés du 16 septembre.
Incendie à 11 heures du soir du logement des graviers de J.-B. Légasse à Saint-Pierre. Deux de ces malheureux périssent dans les flammes.
Dans l’après-midi, un incendie se déclare à l’lle-aux-Marins dans l’immeuble Laloi. L’immeuble subit à l’intérieur d’importants dégâts.
Le chalutier espagnol ‘Estornino’ entre à Saint-Pierre complètement ravagé par un incendie. L’équipage est sain et sauf.
Le chef de la colonie avise le Département de l’envoi à Miquelon d’une pièce de canon de 8 avec son armement, pour être mise en batterie au pied du mât de pavillon situé au bord de la mer, au milieu du bourg. Cette pièce servira pour les salves et sera servie par 12 marins volontaires. Une pompe à incendie est également envoyée dans cette localité. Avis est aussi donné que la batterie de Saint-Pierre sera terminée dans 20 jours. M. Borius, lieutenant de vaisseau part pour la France sur le de lougre ‘Saint-François’, à destination de la Rochelle. M. Borius avait rempli les fonctions intérimaires de commandant pendant une absence de M. Bourrilhon, il devait être titularisé dans cette charge en 1825. Arrivée à Saint-Pierre de la division des Antilles, sous le commandement du contre-amiral Duperré et composée de la frégate ‘Gloire’, des bricks ‘Eurayle’ et ‘Ollivier’ et de la flûte ‘Tarn’. Des marins de cette division, atteints de la fièvre Jaune sont débarqués et installés dans des baraques près du ruisseau Courval.
Le commandant Cren informe le département que cent maisons, sur le nombre de celles incendiées le 16 septembre sont déjà en voie de réédification, dans les conditions de son arrêté du 18 septembre dernier.
Incendie à la station de bitumage située au Rond-Point de Savoyard. Dégâts matériels peu importants.
Un incendie se déclare à l’Imprimerie du Gouvernement. L’apprenti typographe Nicolas âgé de 16 ans, gravement brûlé succombe dans la soirée. Un autre apprenti, Lefèvre, est assez sérieusement brûlé aux bras et aux mains en tentant de sauver son camarade.
Un incendie prend naissance à 3 heures du matin au domicile de M. Alfred Roverch. Trente minutes plus tard, les pompiers sont maîtres du feu. Les dégâts à l’intérieur de l’immeuble sont assez importants.
Social Widgets powered by AB-WebLog.com.